 vidéo - AFP Sur une île où l'éducation, comme la santé, est gratuite, de nombreux Cubains ayant eu accès aux études supérieures déchantent en intégrant un marché du travail aux salaires dérisoires. Beaucoup délaissent alors leur carrière pour de petits boulots dans les quartiers touristiques de La Havane. À Cuba, les bas salaires ont souvent raison du prestige professionnel.
A Cuba, les bas salaires poussent les diplômés hors des bureaux A Cuba, les bas salaires ont souvent raison du prestige professionnel. Sur une île où l'éducation, comme la santé, est gratuite, de nombreux diplômés déchantent en découvrant le marché du travail. Même si le taux de chômage officiel n’est que de 2,4%, le problème, ce sont les salaires, trop bas. Dans ce pays, où tout le monde vit entre deux monnaies, l’inflation, les faibles réformes économiques et le peu d’investissements étrangers, il n’y a pas de petit métier pour arrondir les fins de mois.
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