En Allemagne, un cygne en deuil, qui venait de perdre son compagnon, a interrompu le trafic des trains près d'une heure. Plusieurs trains allemands, circulant sur la ligne à grande vitesse entre Cassel et Göttingen, ont subi un retard d'une cinquantaine de minutes juste avant Noël à cause d'un cygne qui bloquait la voie. Et pour cause. L'oiseau était en deuil. Il venait de perdre son compagnon, probablement tué après avoir heurté un câble électrique au-dessus des rails. Le cygne survivant n'a pas voulu le quitter et s'est assis à ses côtés. Il a fallu l'intervention des pompiers pour libérer la voie et rétablir le trafic. Les deux oiseaux s'étaient égarés sur la ligne à grande vitesse « lors d'une excursion », selon le communiqué de la police de Cassel. Les faits remontent au 23 décembre mais ont été rendus publics lundi 28 décembre. Le cygne rescapé relâché sur la rivière Fulda Le cygne malheureux a résisté près d'une heure aux tentatives de fonctionnaires pour l'attirer loin des voies. Il a fallu que des pompiers dotés d'un équipement spécial soient appelés à la rescousse : ils sont parvenus à emporter le cygne mort et son compagnon, sain et sauf, en dehors de la zone. L'oiseau rescapé a ensuite été relâché sur la rivière Fulda. Vingt-trois trains avaient été retardés une cinquantaine de minutes pendant l'opération de sauvetage. Selon la société royale britannique de protection des oiseaux, les cygnes tentent de rester en couple leur vie entière. > Le Point #Article #Insolite #animaux
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Oubliés au parloir, les parents d'un détenu de la maison d'arrêt de Grasse ont dû briser la vitre pour s'en sortir. D'ordinaire, quand il s'agit d'une évasion, des criminels sont impliqués. Pourtant, cette fois-ci, l'histoire concerne les parents d'un détenu, « oubliés » dans le parloir de la maison d'arrêt de Grasse [près de Nice]. Mercredi 16 décembre, ce couple de quinquagénaires se rend à la maison d'arrêt afin de rendre visite à son fils. La procédure est stricte : les agents gardent leurs téléphones ainsi que leurs cartes d'identité avant qu'ils n'entrent au parloir. Ils sont ensuite autorisés à entrer dans un petit box de 6 mètres carrés équipé d'une table et de chaises. Le couple de quinquagénaires parle ensuite à son fils durant quarante-cinq minutes, de 15 h 30 à 16 h 15. Une demi-heure de panique Les détenus sont ensuite raccompagnés un à un en cellule et les visiteurs, à l'extérieur. Mais le couple reste enfermé. « Nous avons appelé, crié, tapé contre la porte en vain. Nous avons été pris de panique », explique la mère de famille. Comme personne ne venait malgré leurs appels, « mon mari a tenté de casser la vitre à coups de pied. Elle a fini par se casser. J'étais tellement paniquée que je ne me suis pas rendu compte que je me blessais à la main sur les bouts de verre qui restaient. J'ai cru mourir dans cette pièce ». Leur péripétie aura duré une demi-heure, « un temps qui [leur] a paru bien plus long », soulignent-ils. « J'en tremble encore. Et je suis en colère », explique la quinquagénaire. Après son évasion du box, le couple se retrouve dans un couloir désert et clos. Le couple fait des signes aux caméras et, repéré par une gardienne, est enfin délivré. Une « faute grave » Malgré les excuses du personnel, dont le directeur de la prison, le couple est toujours dans l'incompréhension. « Qu'est-ce qui leur est passé par la tête ? Ils auraient dû voir qu'il leur restait des pièces d'identité. Nous avons été privés de liberté. C'est une faute grave », s'agace la mère du détenu. En colère, le couple compte écrire au Défenseur des droits, à la Cour internationale des droits de l'homme ainsi qu'au ministre de la Justice. La prison a, de son côté, lancé une enquête administrative et assure « prendre la mesure de ce qui s'est passé ». « Nous écoutons les agents les uns après les autres. Nous recueillons minute par minute le déroulé de ce parloir pour connaître la nature de l'erreur et y remédier. Il s'agit probablement d'une erreur humaine sans volonté de nuire. Une erreur comme il peut en arriver lorsqu'il y a gestion humaine », souligne auprès du quotidien régional la direction de la maison d'arrêt. > Le Point #Article #Insolite #prison 15/12/2020 0 Comments Un philanthrope va léguer une partie de sa fortune aux chats du musée de l'ErmitageUn généreux donateur français a légué de l'argent pour aider la cinquantaine de chats qui vivent dans les sous-sols du musée russe. C'est une nouvelle qui ravira sûrement les amoureux des animaux, mais aussi les visiteurs occasionnels du musée de l'Ermitage, à Saint-Pétersbourg. L'établissement, qui fait partie des plus grands au monde, compte plus de 3 millions d'œuvres d'art, peintures, sculptures et autres pièces inestimables. Mais il héberge aussi une importante population féline depuis sa création par Catherine la Grande, en 1764. Un citoyen français a décidé de léguer une partie de sa fortune aux animaux. Le généreux donateur français, identifié par le Moscow Times sous le nom de Christoff Botar, aurait été très impressionné par les animaux qui veillent sur le musée. Loin d'être un simple ornement, ces animaux se sont vu décerner le statut de gardiens des galeries d'art par la fondatrice du musée. Leur principale « mission » ? Maintenir les rongeurs éloignés des lieux. De nos jours, ce sont des volontaires mais aussi le personnel du musée qui prennent soin des chats. Ceux-ci bénéficient aussi des services d'un vétérinaire local. Si on ignore le montant de la somme laissée par le donateur, les fonds devraient être utilisés pour rénover le sous-sol où se trouvent les animaux. « Un beau geste » Mikhaïl Piotrovksy, le directeur général du musée, a évoqué un « beau geste venu de France », à l'occasion d'une conférence de presse. Soulignant que la « somme n'est pas très importante », il a noté que des discussions étaient encore en cours avec des juristes en France afin de permettre le transfert des fonds. L'héritage du donateur français aurait été divisé entre ses proches, une organisation écologiste française et les chats de l'Ermitage. Le musée russe fait partie des trois plus grands au monde, avec le Louvre à Paris et le Metropolitan Museum of Art de New York. Habituellement, de nombreux visiteurs se photographient avec les chats dans le musée. Toutefois, en raison de la pandémie de coronavirus et des restrictions imposées par la ville de Saint-Pétersbourg, l'établissement a été contraint de fermer de nouveau ses portes, souligne le Moscow Times. > Le Point #Article #Insolite #musée #chat De la viande artificielle de poulet va pouvoir être proposée prochainement dans des restaurants de Singapour, une première mondiale. De la viande artificielle de poulet va pouvoir être proposée prochainement dans des restaurants de Singapour après un feu vert des autorités locales, « une première mondiale » selon la start-up américaine à l'origine du projet. Eat Just, qui travaille sur ce projet de viande de laboratoire cultivée à partir de cellules animales, a annoncé que ses morceaux de poulet avaient été autorisés à la vente par l'agence de sécurité alimentaire de la cité-Etat d'Asie du Sud-Est. Il s'agit « d'une avancée pour l'industrie alimentaire mondiale », a-t-elle souligné alors que de nombreuses sociétés cherchent des moyens de produire de la viande avec un impact moindre sur l'environnement. La consommation de viande mondiale devrait augmenter de 70 % d'ici 2050, et la viande artificielle pourrait répondre à une partie de la demande. De plus, la consommation de viande est l'un des moteurs du changement climatique. De la viande produite en laboratoire pourrait, toujours selon cette start-up, contribuer lutter contre la hausse des températures. « Je suis persuadé que l'autorisation du régulateur pour notre viande cultivée sera la première d'une série à Singapour et dans d'autres pays dans le monde », a ajouté Josh Tetrick, cofondateur et PDG de Eat Just. > Le Parisien #Article #Insolite #société #alimentation Certains s’amusent comme ils peuvent en cette période de confinement avant les fêtes. C’est ce qu’on appelle aujourd’hui le « Strav’Art » et de plus en plus de joggeurs le pratiquent. Il s’agit d’utiliser l’application Strava pour courir, créer son propre parcours et en sortir un joli dessin. Celui du Bordelais Quentin Rolland est particulièrement réussi malgré sa complexité. Installé depuis peu en Dordogne, le jeune homme de 28 ans a dessiné le Père Noël et son traîneau à l’occasion d’un footing de 10 kilomètres dans les rues de Périgueux ces derniers jours. Un joli clin d’œil à quelques semaines des fêtes de fin d’année. Très bien réalisé en 1 h 02, son dessin est à retrouver dans la catégorie « Xmas » de l’application avec d’autres « œuvres » de Noël. > 20 minutes #Article #Insolite #art #courseapied Un artisan indonésien a touché 1,5 million d'euros après avoir découvert la météorite qui avait traversé sa maison. Le ciel lui tombe sur la tête, il devient millionnaire. Voilà comment résumer en quelques mots la fabuleuse histoire de Josua Hutagalung, un artisan indonésien qui fabrique des cercueils. Alors en pleine journée de travail, chez lui, Josua est interrompu par le bruit fracassant d'une petite météorite que le destin a décidé de faire atterrir sur sa maison. L'objet a percé le toit avant de traverser la maison et de venir s'enfoncer de 15 cm dans le sol de son jardin. Le père de famille n'aura pourtant pas à s'inquiéter du coût des réparations. S'il n'a aucune idée de ce que peut bien valoir une météorite tombée du ciel, Josua fait néanmoins expertiser l'objet qui a pourfendu sa toiture. Un spécialiste lui confirme qu'il s'agit là d'une chondrite carbonée extrêmement précieuse pour la recherche scientifique. L'objet, qui pourrait être vieux de plus de quatre milliards d'années, est estimé à 1,5 million d'euros. La météorite vendue à un spécialiste américain Jared Collins, un expert américain, a immédiatement été informé de cet événement. « Mon téléphone n'arrêtait pas de sonner, j'ai dû sauter dans le premier avion et acheter la météorite. J'ai transféré autant d'argent que j'ai pu et je suis allé trouver Josua, qui s'est avéré être un habile négociateur. » Josua compte réaliser son rêve et construire une église en Indonésie. Il espère également que cette bonne nouvelle sera de bon augure pour sa vie familiale. « J'ai trois garçons, mais j'ai toujours voulu avoir une fille, j'espère que cette météorite est un signe du ciel que j'aurai la chance d'en avoir une maintenant. » > Le Point #Article #Insolite #météorite 17/11/2020 0 Comments Il part cueillir des champignons et finit par découvrir une épée de l’Age de bronze vieille de 3 300 ansRoman Novák a fait la une des médias en République tchèque après avoir découvert une précieuse épée de l’Âge de bronze. S’il y a une chose qui passionne les habitants de la région de Jesenicko, en Moravie du Nord (République Tchèque), c’est bien la cueillette de champignons. Les petits comme les grands y prennent du plaisir. On peut même dire que c’est un véritable sport national. Roman Novák fait partie de ces personnes qui se passionnent pour cette activité. Alors qu’il était de sortie non loin de chez lui pour cueillir des champignons comme à son habitude, ce dernier a découvert une épée de l’Âge de bronze vieille de 3 300 ans. Une découverte inattendue Roman Novák a fait les grands titres des médias tchèques après cette découverte inattendue. C’est au micro de Radio Prague International qu’il raconte ce qu’il s’est réellement passé durant sa cueillette de champignons. « Il venait de pleuvoir et j’étais sorti pour cueillir des champignons. Alors que je marchais, j’ai vu une pièce de métal sous quelques pierres. J’ai donné un coup de pied dedans et je me suis rendu compte que c’était la lame d’une épée. J’ai donc creusé et j’ai ainsi trouvé le reste de cette épée en bronze, ainsi qu’une hache en bronze », a-t-il confié. On peut dire que Roman Novák a eu le bon réflexe. Au lieu de garder ses trouvailles pour lui, il a directement contacté des archéologues. Il estimait que des experts seraient capables de retracer toute l’histoire de cette épée et d’en prendre soin. Retour vers le passé Roman Novák ne s’est pas trompé. Les archéologues ont pu déterminer l’âge approximatif de l’épée. D’après eux, celle-ci serait âgée de 3 300 ans. L’épée et la hache datent de 1 300 avant J.C. Les détails de l’épée portent à croire qu’il s’agit d’une arme qui provient du Nord de l’Allemagne. Les archéologues ont indiqué que cette arme avait été construite en faisant fondre du bronze. Le liquide provenant du métal aurait ensuite été versé dans un moule. Ils ont noté quelques imperfections dans la construction de cette arme. « Ils essayaient bien évidemment de faire leur mieux, mais la qualité de la fonderie était en fait plutôt mauvaise. Des tests aux rayons laser montrent qu’il y a énormément de petites bulles dans l’arme. Cela suggère que l’épée n’a pas été utilisée pour combattre et qu’elle avait plutôt une valeur symbolique », ont déclaré les experts. Une fois que les expertises seront finies, cette épée rejoindra le musée ethnographique de Jesenicko et le musée de Silésie pour y être exposée. Neozone #Article #Insolite #épée #histoire Londres - Un couple de Britanniques peut remercier sa bonne étoile après avoir trouvé dans un garage rempli de sac poubelles laissés par un voisin un vrai trésor de jouets Star Wars, d'une valeur de 400.000 livres sterling (443.000 euros). Le couple, qui vit à Stourbridge dans le centre de l'Angleterre, ne savait pas trop quoi faire, au départ, de ce tas de poupées et de vaisseaux spatiaux que leur voisin avait amassés durant plusieurs décennies. C'est leur fils qui a eu la surprise de découvrir la valeur de l'ensemble en faisant appel à un commissaire-priseur pour estimer la collection, qui incluait des figurines encore dans leur emballage d'origine. "Beaucoup étaient légèrement humides, du fait de la manière dont ils avaient été entreposés mais il s'agit de la plus belle collection d'objets de Star Wars qu'il m'ait été donné de voir", a assuré au quotidien britannique cet expert, Chris Aston, de Aston's Auctionneers. "Nous avons reçu des marques d'intérêt du monde entier et étions certains que la vente se passerait bien", a-t-il ajouté. Parmi les objets mis en vente se trouvait un commandant de Star Destroyer, un des vaisseaux de la flotte de l'Empire Galactique, l'un des deux seuls exemplaires connus toujours dans son emballage original, parti pour 32.500 livres (plus de 36.000 euros). Une figurine de Jawa, ces petits êtres encapuchonnés aux yeux brillants, dans son emballage - l'un des seuls 10 exemplaires connus - a de son côté trouvé preneur pour 27.280 livres (plus de 30.000 euros). Quant à un groupe de huit figurines inspirées du film "Le Retour du Jedi", achetées pour moins de deux euros au début des années 1980, elles se sont vendues à 1.400 livres (1.550 euros). Qu'il s'agisse d'un casque de Storm Trooper, les fantassins de l'Empire, ou d'un œil de R2D2, le petit droïde rond qui traverse les neufs films, les objets de collection tirés de l'une des plus célèbres sagas cinématographiques au monde attirent depuis plusieurs années les collectionneurs, prêts à mettre le prix pour acquérir un morceau de cet univers. Une figurine de Luke Skywalker, commercialisée en tant que jouet pour enfant en 1978, avait été vendue en 2015 lors d'une enchère organisée par Sotheby's et eBay pour 25.000 dollars (plus de 21.000 euros). Selon M. Aston, le couple était "ravi" de sa bonne fortune : "je ne sais pas s'ils avaient un plan en tête mais ils doivent avoir la même impression que s'ils avaient gagné à la loterie". #Article #Insolite #Angleterre #jouets > L’Express Un médecin avait acheté la lampe plus de 80.000 euros avant de réaliser qu'elle n'avait aucun pouvoir magique. Des génies de l'escroquerie. Deux Indiens ont été arrêtés jeudi 29 octobre après avoir vendu une "lampe d'Aladin contenant un génie". La victime est un médecin qui l'a achetée sept millions de roupies, soit 80 800 euros. Le docteur Laeek Khan pensait avoir fait une bonne affaire quand les deux hommes lui ont laissée à ce prix, mais a finalement réalisé que la lampe n'était dotée d'aucun pouvoir magique. Il s'est donc rendu à la police de l'État de l'Uttar Pradesh, dans le nord de l'Inde, pour faire arrêter les deux escrocs, rapporte le site Ulyces. Pour cette arnaque, l'un des deux hommes avait prétendu être un occultiste. Il avait frotté la lampe et fait apparaître un "djinn" prétendument enfermé à l'intérieur et supposé apporter richesse, chance et santé à l'heureux propriétaire. L'entité surnaturelle n'était autre qu'un complice déguisé. La police locale a indiqué que d'autres familles avaient été trompées par le même stratagème. Avec cette technique, les escrocs ont amassé plusieurs millions de roupies. Ils ont depuis été placés en détention préventive et inculpés. > RTL #Article #Insolite #Inde #lampe L'équipe de l'établissement a inversé deux carafes, l'un contenant le vin le moins cher de la carte, l'autre le plus cher… Reconnaître un grand cru d'un vin des plus ordinaires est loin d'être chose aisée. La mésaventure qui suit en est un délicieux exemple. Dans cette fable new-yorkaise entrent en scène un couple, un restaurateur et quatre hommes d'affaires de Wall Street. C'est Keith McNally, le gérant du restaurant français Balthazar, situé à New York, qui détaille l'histoire sur Instagram. Ce jour-là, quatre riches hommes d'affaires sont attablés. L'un d'entre eux commande le vin le plus cher de la carte, un Château Mouton Rothschild 1989, 2 000 dollars la bouteille. Keith McNally se charge lui-même de verser le vin précieux dans une carafe. Au même moment, un jeune couple demande de son côté le vin le moins cher de la carte, 18 dollars la bouteille, elle aussi versée dans une carafe. Il fallait s'y attendre : les deux carafes sont inversées et servies aux mauvais clients. « Comme une erreur de la banque en notre faveur » Mais le sel de toute l'histoire ne tient pas seulement à l'erreur d'aiguillage de grand cru. Car la réaction des protagonistes semble tout écrite. « L'un des hommes d'affaires, qui invitait les trois autres, se considérait comme un connaisseur de vin », explique le restaurateur. Emballé et fier devant ses invités, l'homme vante la « pureté » du breuvage et ses grandes qualités. Le jeune couple, de son côté, persuadé de boire un vin bon marché, « a fait semblant en plaisantant de boire un vin cher et a parodié toutes les manières d'un snob de vin ». Cinq minutes suffiront pour que l'équipe du restaurant s'aperçoive de sa bourde. Mais dans ce cas, « faut-il admettre l'erreur ou permettre aux hommes d'affaires de continuer à boire du vin bon marché dans une ignorance bienheureuse » ? Honnête, le patron finira par avouer. « L'homme d'affaires de Wall Street a répondu en disant : "Je pensais bien que ce n'était pas un Mouton Rothschild !" Les autres à table ont hoché la tête », raconte le restaurateur. Les deux jeunes gens, eux, ont bien évidemment pris la nouvelle avec le sourire. « C'est comme une erreur de la banque en notre faveur », se sont-ils réjouis. La facture salée incombera donc au restaurateur qui prendra la nouvelle avec le sourire, au point de partager son histoire au monde entier. >Le Point #Article #Insolite #vin #restaurant |