Le célèbre site archéologique du Pérou ne devait rouvrir ses portes qu'en novembre. Mais un touriste japonais a pu avoir une faveur. Il est l'élu : un touriste japonais de 26 ans, coincé au Pérou depuis mars, a pu visiter la célèbre citadelle inca du Machu Picchu, fermée depuis des mois en raison de la crise sanitaire. « La première personne sur Terre de retour au Machu Picchu depuis le confinement, c'est moi ! » a écrit Jesse Katayama sur son compte Instagram, où il a publié des photos de lui devant le site désert. « C'est vraiment incroyable ! Merci », a-t-il ajouté dans une vidéo publiée sur les pages Facebook de l'autorité locale du tourisme de la région andine de Cuzco. Jesse Katayama avait acheté un ticket d'entrée pour le Machu Picchu quelques jours avant que le pays ne déclare un état d'urgence sanitaire, fermant ses sites touristiques et ses frontières. Sa situation a fini par attirer l'attention des autorités locales, qui lui ont ainsi accordé un droit d'entrée unique pour la célèbre citadelle. Fermé jusqu'en novembre Plusieurs sites archéologiques de la région de Cuzco doivent rouvrir à partir de jeudi avec un strict protocole sanitaire, mais il faudra probablement attendre novembre pour le Machu Picchu, avait annoncé la semaine dernière le ministre péruvien de la Culture. Comptant 33 millions d'habitants, le Pérou est le troisième pays d'Amérique latine en termes de décès liés au Covid-19, derrière le Brésil et le Mexique. Le pays connaît le taux de mortalité le plus élevé au monde par rapport au nombre de ses habitants. >Le Point #Article #Insolite #Pérou #tourisme
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17/10/2020 0 Comments Francis Cabrel - Te ressemblerFrancis Cabrel - Te ressembler
Extrait de l'album "A l'aube revenant" 13/10/2020 0 Comments Une touriste renvoie des objets volés à Pompéi en affirmant qu'ils sont mauditsLa femme enchaînerait les mésaventures depuis son méfait commis il y a quinze ans dans la cité antique. Article - Insolite - Italie - vol Voilà une histoire singulière qui dissuadera peut-être les touristes de repartir avec un objet subtilisé pendant leur visite des ruines de Pompéi, au sud de l'Italie. Une Canadienne vient de renvoyer plusieurs artefacts de la cité romaine qu'elle avait volés il y a quinze ans, affirmant qu'ils sont « maudits ». La femme, identifiée sous le prénom de Nicole, a envoyé un colis contenant deux carreaux de mosaïque, des morceaux d'amphore et un bout de céramique à un agent de voyages de Pompéi, rapporte le Guardian. Le paquet était accompagné d'une drôle de lettre, où la Canadienne affirme qu'une série de malheurs lui sont arrivés depuis qu'elle a volé ces objets lors d'une visite du site en 2005. « J'ai maintenant 36 ans et j'ai eu un cancer du sein deux fois, raconte-t-elle dans sa lettre. La dernière fois, ça s'est terminé par une double mastectomie. » Aux problèmes de santé se sont ajoutées des difficultés financières, ce qui a poussé la femme à croire en une malédiction, transmise par ces reliques « pleines d'énergie négative ». En renvoyant les objets, elle espère avoir « le pardon de Dieu » pour ne pas « transmettre cette malédiction à [sa] famille ou à [ses] enfants ». Le colis, accompagné des pierres volées, contenait également une autre lettre de confession d'un couple canadien. Loin d'être un cas isolé La cité antique de Pompéi, célèbre pour avoir été ensevelie lors d'une éruption du Vésuve en 79 avant J.-C., doit faire face chaque année à de nombreux vols. La visite du site se fait à ciel ouvert et beaucoup d'objets sont à portée de main de touristes peu scrupuleux. Certaines personnes, à l'instar de Nicole, ont ensuite regretté leurs actes. La Canadienne ne semble en effet pas être la seule à avoir connu la « malédiction » des pièces archéologiques volées à Pompéi. En 2015, plusieurs touristes du monde entier auraient renvoyé des objets récupérés sur les vestiges de la ville avec le même discours : ils sont maudits. Comme le note le National Post, un des individus concernés avait alors déclaré avoir vécu « traumatismes après traumatismes » juste après avoir rapporté chez lui un morceau de pierre antique. > Slate.fr 10/10/2020 0 Comments Aloïse Sauvage - Si on s'aimeAloïse Sauvage - Si on s'aime Extrait de l’album " Dévorantes " Si on s'aime, Article - Insolite - Angleterre – animaux Les cinq volatiles invitaient les visiteurs et le personnel à « aller se faire voir ». Certains n'hésitaient pas à leur rendre la pareille. Au Lincolnshire Wildlife Park, parc animalier situé près du village de Friskney, dans l'est de l'Angleterre, un soin particulier est porté à l'accueil et au bien-être des visiteurs. Autant dire que le comportement irrévérencieux de plusieurs locataires de l'établissement n'a pas été du goût de la direction… Comme le rapporte le média local LincolnshireLive, cinq perroquets ont ainsi été contraints de quitter leurs perchoirs, car ils n'hésitaient pas à insulter sans vergogne les promeneurs venus les admirer. À leur arrivée au parc le 15 août dernier, les cinq oiseaux, des perroquets gris d'Afrique répondant aux noms d’Éric, Jade, Elsie, Tyson et Billy, ont passé quelque temps ensemble dans la même salle. Mais, à leur entrée dans la volière principale du zoo pour être exposés au public, les impétueux volatiles, offerts par cinq propriétaires différents, ont laissé éclater leur langage fleuri. « C'est devenu dingue, ils juraient tous », explique à la chaîne américaine CNN le directeur général de la volière, Steve Nichols, en ajoutant qu'il se fait traiter de « grosse p**** » à chaque passage devant eux. « Va te faire voir » Les cinq perroquets prennent un malin plaisir à envoyer balader quiconque s'approche d'eux. « F**k off (en français, « Va te faire voir ») est l'insulte la plus commune », indique le soigneur Steve Nichols. « C'est très facile pour eux d'apprendre. Les oiseaux diront tout ce que vous pouvez penser. » La plupart des visiteurs se sont amusés de la verve des volatiles. Certains promeneurs n'ont d'ailleurs pas hésité à leur répondre avec la même grossièreté. Mais pour éviter de brusquer les plus jeunes visiteurs, la direction du Lincolnshire Wildlife Park a préféré retirer les oiseaux de l'exposition. Au micro de la chaîne britannique BBC, Steve Nichols indique qu'il compte bien revoir l'éducation des perroquets. « J'espère qu'ils apprendront des mots différents – je ne sais pas ce que je ferais si je me retrouvais avec 250 oiseaux en train de proférer continuellement des insultes… » Le Point Article - Insolite - société - stationnement Un bug gonflant les tarifs de stationnement a semé le chaos dans les sous-sols du parking Indigo de la place Saint-Sulpice. Tout le monde le sait : Paris est une ville où tout coûte cher. Mais le ticket de parking de Roland, un sexagénaire qui réside à Champs-sur-Marne, en Seine-et-Marne, a tout de même dû lui tomber des mains lorsqu'il a découvert le tarif de stationnement en vigueur dans le parking Indigo de Saint-Sulpice, situé dans le 6e arrondissement. « Je suis arrivé samedi dernier vers midi à Paris et j'en suis reparti le même jour vers 16 heures. Et, pour quatre heures de parking, la borne de paiement m'a demandé la modique somme de 170 392 euros ! » s'étrangle le malheureux automobiliste dans les colonnes du Parisien, mercredi 23 septembre 2020. Bien décidé à ne pas payer cette somme « farfelue », Roland stoppe son véhicule devant la barrière de sortie de parking. Problème : nulle trace de personnel. Et, pour ne rien arranger, les bouchons derrière lui s'accumulent. L'automobiliste contacte donc le gardiennage du parking via une borne. « L'interlocuteur semblait plus inquiet de mon règlement que du dysfonctionnement et de la situation invraisemblable dans laquelle je me trouvais. Bref, après un interrogatoire poussé, me demandant ma plaque d'immatriculation et mon numéro de téléphone, il se décide enfin à ouvrir la barrière », narre Roland. Une situation tendue L'histoire aurait pu se terminer là. Mais c'est sans compter sur la malchance de Roland, qui rate la sortie. Sans aucune pitié, la barrière se referme et le piège à nouveau. Impatients, les automobilistes coincés derrière la voiture de Roland commencent à faire entendre leurs klaxons. La situation se tend. D'autant qu'un conducteur sur deux a également écopé d'un ticket à 170 392 euros. Plongé en plein chaos, Roland tente de joindre un numéro de téléphone affiché au parking. Mais, faute de réseau, cette dernière tentative échoue. Il se passera encore trois longs quarts d'heure avant qu'il ne puisse s'exfiltrer du parking et rejoindre le plancher des vaches. « En résumé, je suis resté bloqué dans un parking où il n'existe aucune intendance, aucune surveillance, aucun service, aucune personne n'étant en capacité de vous aider en cas de problème. C'est grave et angoissant ! » s'emporte-t-il dans les colonnes du quotidien francilien. De son côté, la direction d'Indigo, « navrée », explique qu'un bug informatique de l'application OPnGO est à l'origine de l'incident. Un souci « réglé rapidement », promet la firme qui compte 120 parkings à Paris. Le Point 26/9/2020 0 Comments Tibz - Au revoirTibz - Au revoir Elle m'a pas dit au revoir 22/9/2020 0 Comments Canada : Il s'endort au volant de sa Tesla roulant à 150 km/h et se fait flasherArticle - Insolite - Canada - technologie Le conducteur avait enclenché le mode pilote semi-automatique proposé par la voiture produite par la société américaine d'Elon Musk. La technologie peut parfois jouer de mauvais tours. Au Canada, un conducteur de Tesla a été flashé à 150 km/h alors qu'il roulait endormi au volant, rapporte CNN. Âgé de 20 ans, le jeune homme avait enclenché le mode pilote semi-automatique de la voiture électrique produite par la société d'Elon Musk. Le 9 juillet dernier, la police canadienne reçoit le signalement d'une voiture circulant à une vitesse excessive. Au moment d'appréhender le véhicule, les agents découvrent les deux sièges avant complètement inclinés vers l'arrière, ainsi que le conducteur et son passager couchés, comme s'ils étaient en train de dormir. La Tesla circulait alors à 140 km/h. Mais, lorsque les policiers canadiens se sont approchés du véhicule avec leur gyrophare, la voiture s'est soudainement mise à accélérer pour atteindre les 150 km/h. Finalement, les policiers sont parvenus à faire stopper la voiture. D'abord sanctionné pour excès de vitesse, le conducteur a ensuite été accusé de conduite dangereuse. Il sera convoqué en décembre 2020 devant la justice. Un système critiqué Le système conçu par Tesla nécessite toujours que le pilote garde un œil sur la route et les mains sur le volant. La société avertit d'ailleurs tous les conducteurs de Tesla avant la première utilisation afin qu'ils ne détournent pas le regard de la route. Ce n'est pas la première fois que la compagnie américaine est confrontée à ce type de problème. L'année dernière, un homme de 50 ans a perdu la vie après être passé du mode manuel au mode semi-automatique. En 2018, c'est un employé d'Apple qui est mort dix-neuf minutes après avoir enclenché le mode semi-automatique. Sa voiture avait quitté l'autoroute, avant de prendre feu. Tesla avait alors affirmé que le seul moyen pour que le véhicule se retrouve dans un accident était si le conducteur « n'avait pas fait attention » à la route, « de multiples avertissements étant diffusés » pour empêcher ce genre de situation. > Le Point 19/9/2020 0 Comments Mylène Farmer - L'âme dans l'eauMylène Farmer - L'âme dans l'eau J’ai l’âme dans l’eau |